Les Voyageurs de l'Imaginaire
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 Izhjia #prologue

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Izhjia
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Izhjia


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MessageSujet: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyDim 27 Jan - 14:43

il y a 4 ans

J'ai toujours voulu être marchombre.
Ce sont eux qui n'ont jamais voulu de moi.
Le seul fait que je connaisse l'existence de la guilde fait de moi quelqu'un de particulier, je dois être l'une des seule personne au monde à l'avoir découverte par moi même.
Si je n'avais que 11 ans à l'époque, j'étais déjà une habituée des taverne et de ceux qui les fréquentent. Il n'est pas rare qu'un homme un peu trop imbibé laisse échapper une ou deux phrases de trop avant de commencer à ronfler sur la table.
Au début, je ne comprenais pas vraiment, je prenais ça pour des délires dus à l'alcool, ou alors j'étais moi même tellement saoule que j'avais oublié quelques secondes après.
Dans tous les cas, je n'y prêtais pas de réelle attention avant que je ne croise ces deux hommes, différents mais pourtant si semblables...
Si près de 4 ans se sont écoulés depuis cette découverte, je me souvient comme si s'était hier de cette nuit où le serveur ayant refusé de me resservir en prétextant que j'étais trop jeune et que ma constitution de fille me rendais plus fragile, je lui avais mis un coup de tête qui lui avait explosé le nez, suivi d'une droite qui avait fait voler quelques dents de plus et lui avait laissé quelques tatouages en souvenirs, dus aux nombreuses bagues qui couvraient déjà mes doigts.
Je m'étais enfuie en emportant une bouteille de bière sur laquelle je lorgnais depuis une bonne demie heure. Après avoir couru à perdre haleine pour traverser Al'Vor, je m'étais arrêtée pour souffler. C'est là que je les vis, semblant glisser sur les gros pavés roses de l'avenue, tellement silencieux que j'aurais pu ne me rendre compte de rien si je n'avais pas levé la tête.
Si je n'avais pas levé la tête.
Tout est là. Toute mon existence depuis cette nuit là tient dans ce geste, cette action que j'ai accomplis sans vraiment y penser.
Parfois, il suffirait que l'on lève la tête pour apercevoir de la lumière devant nous, sur le chemin de la vie. Sur notre chemin.
Et pour le voir, il suffirai de lever la tête.
Bref, trêves de considérations philosophiques.
Le temps de ces pensées, et ils avaient disparu, avant que je ne réalise qu'il était vital que je les suive. Ils avaient disparu...
Tels furent mes sensations à la vue des premiers et seuls marchombres que je n'ai jamais rencontrés.
Il faut bien dire de moi, que je possède une qualité -et je crois bien que c'est la seule- très bénéfique: la persévérance.
Quand je veut quelque chose, je l'obtient. Que ce soit en une journée, un mois, un ans, une vie, je l'obtient.
Et si je ne l'obtient pas, je frappe.
Il ne faut jamais sous-estimer les renseignement que l'on peut obtenir simplement en discutant .
Que ce soit consciemment ou pas, les gens livrent toujours des informations intéressantes.
C'est ainsi que je réalisai que l'on récolte bien plus en de disant rien qu'en posant des questions. Et encore plus en offrant un verre d'alcool.
Grâce à cela, j'appris que les marchombres pouvaient apparemment chevaucher la brume, escalader les plus hautes tours d'Al'jeit à la force des bras et parler au vent.
En fait, la majorité des personnes ne connaissent pas l'existence des marchombres, ou ne les associent pas avec les prodiges dont ils sont témoins, ils se contentent de bafouiller leurs souvenirs entre deux hoquets. Et c'est pour cela que la plus grosse partie du travail fut de démêler les rumeurs de la réalité, surtout lors que l'ivrogne en face rajoute des Ts'lischs un peu partout pour épater la demoiselle.
Enfin voilà, c'est quasiment tout ce qui est important.
Mon rêve, mon âge, mon nom.
Mon nom, c'est Izhjia Ingan.



Très vite, deux conclusion s'imposèrent à moi.
La première, que j'allais devoir me trouver un autre taverne pour passer mes soirées et que si je continuais à ce rythme là il n'y allait bientôt ne plus en avoir une seule dont je n'aurais pas démolit au moins un serveur.
La deuxième, que cette nuit me semblait sortir de l'ordinaire.
Et ce n'était pas fini.
Il est vrai que je n'ai que peu parlé de ma solitude, voir pas du tout, c'est que ma vie contint a partir de cette soirée une personne de plus.
Restons encore un peu dans le passé, le temps de revoir quelques petites choses, avant de retourner vers le présent...

je reçu un violent coup de poing à l’arrière de mon crâne. Perdue dans mes pensées, je ne m'étais pas rendue compte que quelqu'un s'était faufilé derrière moi. D'un seul mouvement, je me retournais et abattais la bouteille de bière en verre que je tenais toujours à la main sur la tête de mon assaillant.
La bouteille explosa dans un bruit étouffé.
J’eus le temps de croiser le regard de ces yeux, bleus comme des lacs de montagnes, avant que ma victime ne s'écroule sur le sol, recouvrant son corps de nombreuses coupures dues aux éclats de verre cassés.
J’eus le temps de prendre pour résolution de regarder avant de frapper.
Résolution, que, je précise, j'ai réussi à tenir pendant au moins 2 jours, ce qui est un record.
J’eus le temps de me dire que j'allais devoir laver ma tunique, couverte d'éclaboussures de bière et trempée par la transpiration.
J’eus le temps de penser à milles autres choses avant de me rendre compte que ce que j'avais fait était totalement débile.
Et je restais là, plantée, à regarder la chose qui se tenait étendue au sol, devant moi.
La chose, car il me semblait impossible que ce soit humain.
Moi qui avais toujours considéré l'amour comme une chose abstraite, un peu comme un sujet de philosophie, moi qui avais réussi à conclure, après tri de mes pensées, que l'amour était une chose qui se mérite et s'attend, j'avais devant moi la chose la plus magnifique qu'il m’eus été donnée de voir.
Tellement magnifique ce s'en était effrayant.
Habituellement, quand j'étais effrayée, je réglais son compte à l’objet de mon effroi, cela me permettais de chasser toute peur mal placée. Mais là, la chose était déjà assommée, peut être dans le coma , je ne pouvais pas décemment la tuer, ce serai contraire à mes principes.
Alors je la chargea sur mon épaule et me mis en route. Ayant pour idée d'attendre son réveil pour pouvoir la torturer et lui arracher le secret de sa magnificence.
Ou lui arracher les yeux, tout simplement.



Je suis forcée de m'arrêter à une centaine de mètres des remparts, me demandant comment sortir sans attirer l'attention. Les gardes de la cité ne sont vraiment pas commodes.
D'autant plus que je ne me vois pas passer en portant une forme humanoïde inanimée sur mon épaule, et que je ne suis littéralement pas de taille à me battre contre ces forces de la nature, ces colosses de deux mètres de haut pesant trois fois mon poids.
Oui, parfois j'admets que je n'ai aucune chance dans un affrontement. C'est mon coté non Thül qui ressort.
Je réfléchis à un moyen qui me permettrait de ne pas passer devant eux. La hauteur des remparts et le poids sur mon épaule excluent de passer par dessus, franchir la porte semble donc être incontournable.
Avec la foire annuelle , je me rends compte qu'ils ont doublé la garde; j'écarte donc à regret l'idée de siffler Hulm et m'enfuir au triple galop. La seule solution est malheureusement de sortir comme si de rien n'était.
C'est tout simple mais une part de moi cherche toujours à faire compliqué.
Je m'approche de l'ouverture quand je croise un groupe de Thüls visiblement bien éméchés et penche la tête pour ramener mes cheveux sur mon visage. Je prie pour qu'ils ne me reconnaissent pas, même si cela m'énerve au plus au point d'être obligée de me cacher.
Et tout ça pour quoi? Fuir mon peuple? Continuer mon existence d'ermite, reniée des miens?
Je me souviens pourtant des belles années; on était heureux. La maison couverte de lierre, ma mère, mon oncle, moi... mon père...
C'était le chef du clan.
Avant sa mort...
Cela faisait 5 ans que je n'avait pas donné de nouvelles à l'époque. Cela en fait maintenant 9. Que je me cache de ma propre famille. Pour sauver ma vie.

Une fois qu'ils m'eurent dépassée, je retins mon souffle et franchis les énormes battants de bois des portes d' Al'Vor.
-Il a trop bu, lançai-je devant le regard étonné de l'un des gardes.
Un autre, alerté par le timbre juvénile de ma voix tourna la tête et posa les yeux sur le sang et les blessures qui maculaient la chose.
-Et ça s'est mal terminé, fini-je.
C'était assez courant dans les environs et ils ne posèrent aucune question, continuant leur garde vigilante.
Quand j'eu dépassé les tentes désertes qui abritaient la foire en journée, j'appelai ma jument qui arriva une trentaine de secondes plus tard.
Hulm, la seule chose qui me restait de mon père.

Une heure plus tard, j'arrive enfin à la lisière de la foret de Baraïl.
Elle n'est pas très touffue à cet endroit ci, et malgré l'obscurité je retrouve sans encombres le chemin presque invisible qui mène à la cabane.
J'habitais dans une sorte de pseudo-bicoque construite avec des planches de bois, au centre d'une clairière abritée.
J'attachai Hulm à un arbre avec une longue corde et repris la chose sur l'épaule gauche. J'essayais d'alterner, mais je sentais poindre les courbatures qui allaient certainement me pourrir la vie le lendemain au réveil.
Ainsi alourdie, j'eu toutes les peines du monde à repousser les branchages fermant l'entrée de ma demeure. Je poussai un grognement en lâchant le truc sans la moindre douceur sur le lit.
En fait de lit, c'était un vulgaire matelas posé à même le sol recouvert d'une couverture miteuse ultra fine.
Tandis que je m'affalais sur la seule chaise que nous possédions, je regardais une fois de plus la désolation dans laquelle nous vivions, ma mère et moi. Dans laquelle je vivais, plutôt. Ma mère n'était pas revenue ici depuis belle lurette. Depuis des années, je me contentais de ces murs en bois rongés par l'humidité qui laissaient passer le vent et le froid malgré les réparations que je faisais chaque année. Et entre ces murs, un lit dans un coin, une cheminée de fortune dans l'autre, l'armoire qui prenait un quart de la place, une table et une chaise. C'était tout ce que nous possédions. Je me nourrissais de la chasse et de la cueillette et vendais tout ce qui était en trop pour payer l'alcool et tout ce que la forêt ne me donnait pas.
Parmi cela, le contenu de l'armoire, c'est à dire – étant dépourvue du moindre don – de quoi allumer du feu, quelques vêtements de rechange, mes armes, de la corde, plusieurs bouteilles d'eau et d'alcool et une trousse de secours. C'est cette boite que j'allai chercher, me disant qu'il valait mieux que le truc soit réparé avant d'être interrogé.
Comme ça je pourrais m'amuser à défaire les réparations.
Lentement, pendant une longue heure, je recousis chaque plaie que je jugeais trop profonde, pansais les égratignures mineures, et appliquais une serviette imbibée d'eau sur le front de la chose. Pas une fois elle ne tressaillit, alors que mon aiguille perforait sa peau, pas une fois elle ne frissonna, malgré le froid de la nuit et son corps nu.
Et quel corps!
Ses muscles taillés à la serpe et les cals de ses mains laissaient deviner un bon combattant, quoi que l’entraînement ne suffise pas toujours à rendre doué. Sa peau halée faisait ressortir ses cheveux blond platine coupés en brosse.
Une fois mon travail achevé, je le rhabillai et le couvris de la couverture. Je préférais le garder en bonne santé pour le moment ou il se réveillerait. J'espérais qu'il n'était pas dans le coma, auquel cas je devrais attendre bien plus longtemps que prévu.



Sifflement.
Inaudible.
Invisible.
Musique éternelle.
Interrompue.
Choc sourd.
La lame se fiche dans le tronc, faisant voler quelques morceaux d'écorces.
À dix centimètres de la croix blanche dans laquelle il devait se planter.
À une centaine de mètre de là, je pousse un grognement de frustration. Encore. Pourquoi ce fichu poignard déviait-il toujours vers la gauche?
Pour la trentième fois, je vais chercher mon arme, reviens à ma place initiale, me remets en position...
Mouvement.
Sifflement.
Grognement.
Grognements.
Presque impossible à percevoir, je le remarque pourtant. Je l'attend depuis une semaine.
Toute excitée, je cours chercher la corde restée dehors après mon dernier entrainement. Au passage, j'attrape la chose qui était allongée sur l'herbe derrière moi et l'attache à l'arbre qui réceptionnait tous mes lancers. Le truc dodelinait de la tête, mais il s'en fallait encore d'une bonne heure avant qu'il ne retrouve toutes ses facultés.
Je ramasse mes poignards, reviens à ma place, me remets en position. Lance.
La lame se fiche en plein centre de la cible.
Trente centimètres au dessus de la chose.

Il ouvre les yeux. Je sais qu'il est réveillé depuis quelques minutes mais j'ai attendu patiemment. Je me fiche bien de le torturer maintenant ou dans un quart d'heure.
Il ouvre les yeux. Et voit une fille assise en tailleur devant lui jonglant avec cinq poignard affûtés.
Il ouvre les yeux, lève la tête et en aperçoit un encore planté au centre d'une croix blanche.
Il referme les yeux.

Quand il se décide enfin à les rouvrir, il plonge son regard dans les iris jaunes qui le fixent.
Mes lames n'ont pas arrêté leur ballet aérien.
-Arrête. Avec tes poignards. S'il te plait.
Ses mots lui ont coûté un effort considérable, je m'en doute. Se réveiller d'une semaine de coma n'est pas une chose aisée.
Cinq poignards se plantent dans le sol jusqu'à la garde.
Et il commence à parler.
Une heure plus tard, quand il se tait, je me lève et, sans un regard pour lui, toujours attaché au tronc, tourne les talons et m'enfonce dans la foret, toute torture oubliée.
Qu'avait il dit pendant une heure?
Je l'ignorais.
Mais j'étais totalement sous le charme.

J'avais quand même appris une chose.
Le truc était humain.
Et il s'appelait Niclas.
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Chalilodimun
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptySam 9 Mar - 10:10

Oh ! J'avais pas vu que tu avais rajouté un truc à ton prologue. Et j'aime vraiment beaucoup ! Très intéressant. Je trouve aussi que l'histoire a un charme tout particulier. U_U
Franchement, continue comme ça.
Il n'y a rien à redire. =3
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Anne-Lou
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyMer 13 Mar - 19:54

Mis à part quelque fautes de syntaxe, rien à redire, vraiment vraiment vraiment sympathique, on veut en savoir plus ! :D
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyJeu 14 Mar - 10:41

De retour après cette longue absence ^^

et c'est reparti :p

"Je dois être l'une des seules personnes"
"J'étais déjà une hébituée des tavernes"
"comme si c'était hier"
"ma constitution de fille me rendait"
"cette action que j'ai accomplis" --> pas d'accord du participe passé avec l'auxiliaire avoir ;)
"il suffirait que l'on lève la tête" --> "il suffirait qu'on lève la tête"
"Quand je veutquelque chose" --> "Quand je veux"
"c'est ainsi que je réalisais"
"que l'on récolte bien plus en de disant rien qu'en posant des questions." --> trop confus, peut-être une faute de frappe au milieu... il faut juste que tu reformule tout ça ;)
"surtout lorsque l'ivrogne"

"me trouver une autre taverne"
"il n'y allait bientôt ne plus" --> tu as déjà une négation! (j'adore les doubles négations hein, mais ici ça tombe pas sous le sens :p )
"Il est vrai que je n'ai que peu parlé de ma solitude, voir pas du tout, c'est que ma vie contint a partir de cette soirée une personne de plus." --> tu en fais peut-être un peu trop, du coup c'est moins fluide et tu perds la correspondance des temps... une phrase à refaire, à remanier.
"le regard de ses yeux"
"la plus magnifique qu'il m'eut été donné de voir"
"Tellement magnifique ce s'en était effrayant." --> "Tellement magnifique que c'en était effrayant"
"cela me permettait de chasser toute..."
" lui arracher le secret de sa magnificence.
Ou lui arracher les yeux, tout simplement." --> répétition: ne mets pas le deuxième, ça accentue bien les yeux et ça fait plus d'impression ;)

Je fais une pause, je ferai la suite plus tard ;)
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Izhjia
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyVen 15 Mar - 20:44

houla! je pensais pas que j'avais fait autant de fautes! O_o
et pas mal de fautes de frappe que je n'avais pas remarquées non plus^^
(a tout corrigé)
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Anne-Lou
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyVen 15 Mar - 21:05

J'ai corrigé la deuxième partie ^^.
Fait attention aux différences se/ce et à la terminaison en s ou en t ^^.
Validé donc !
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyMer 7 Aoû - 9:31

Izh' est-elle encore parmi nous pour corriger ses fautes?? ^^
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Siiahm
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyMer 7 Aoû - 13:02

Bonne question... Aux dernières nouvelles, elle voulait revoir entièrement son projet. ^^
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Bluenote
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MessageSujet: Re: Izhjia #prologue   Izhjia #prologue EmptyMer 7 Aoû - 13:51

Donc je m'attaque pas à la relecture ^^
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